L’une des conséquences inévitables
de la démocratisation exponentielle du jeu vidéo au cours des quarante
dernières années est que les scientifiques se penchent de plus en plus sur ses
effets sur les joueurs. On en a d’ailleurs eu un exemple avec la deuxième
analyse d’article, portant sur le sujet indémodable de la violence qu’induirait
la pratique du jeu vidéo. Cependant, les analyses comportementales et
psychologiques ne sont qu’une des nombreuses facettes de la recherche sur ce
média. D’autres publications, telle celle que nous allons décortiquer
aujourd’hui, se penchent sur les effets physiologiques consécutifs au gaming.
En d’autres termes : comment notre corps module-t-il notre rythme cardiaque ou
notre métabolisme quand nous jouons ?
À l’origine, seule la publication
ci-dessous devait faire l’objet d’une analyse, mais elle a ouvert un certain
nombre de pistes de réflexion qui méritent qu’on s’attarde davantage sur la
thématique qu’elle aborde. Vous aurez donc droit (petits veinards) à un
diptyque sur le stress et le jeu vidéo,
qui commence sans plus attendre par cette publication qui m’a été soufflée par
Ptit-Cactus. Ses explications techniques et son point de vue de musicologue
m’ont beaucoup aidé à structurer ma réflexion et à l’élargir dans un but d’exhaustivité,
un grand merci à elle donc !