Jeu vidéo et Biologie - Stickology

- la Science du Jeu Vidéo, par Aurionis




L’été serait-il propice aux élans nostalgiques ? Cela se pourrait bien, car après vous avoir avoué l’an dernier mon amour immodéré pour les adaptations et déclaré ma flamme à Harvest Moon : a Wonderful Life, la chaude saison fait naître en moi de nouveaux émois rétrogrades. Si, comme tant d’autres, ma prime jeunesse a été façonnée par de grandes séries de jeux vidéo, des illustres licences de Nintendo (Pokémon Rouge, Super Mario Sunshine, puis Zelda dès l’épisode Wind Waker) aux itérations annuelles de FIFA (le RC Lens de l’épisode 2001 restera pour toujours dans mon petit coeur), il est d’autres titres potentiellement moins répandus ou moins appréciés, qui n’ont pas manqué de me marquer au fer rouge. Leur simple évocation quinze ou vingt ans plus tard suffit à me ramener en arrière avec émotion, telles d’inoubliables madeleines virtuelles. Toutes ces expériences ont su en un court passage entre mes mains définir un peu de ce que je suis aujourd’hui, et c’est avec tendresse que cet article viendra rendre hommage aux plus doux de ces souvenirs.