Jeu vidéo et Biologie - Stickology

- la Science du Jeu Vidéo, par Aurionis





Alors qu’elle approche à grands pas de son quinzième anniversaire et qu’un opus dantesque vient de la remettre sur le devant de la scène, la saga God of War m’était totalement inconnue jusqu’à ces derniers jours. Non pas que je n’aie jamais entendu parler du musculeux Kratos, ni des critiques élogieuses faites à chacune de ses aventures, mais je n’avais pas encore eu le plaisir de m’y atteler. Il suffira finalement que le remaster du troisième épisode soit offert sur PS4 pour que j’entre, à mon tour, dans la légende du Fantôme de Sparte. Clairement plus marqué par cette odyssée que je ne l’aurais imaginé, un QTE réussi m’aura fait allumer mon traitement de texte pour vous livrer quelques impressions sur un jeu pas si frais que ça (le bougre est sorti en 2010 après tout), mais beaucoup trop représentatif de son époque pour ne pas en être considéré comme le point culminant, contemplant la concurrence depuis les sommets de l’Olympe.